8 octobre 2013

Film / Alabama Monroe

Ma reprise cinéma de cette année s'est faite en fanfare ! Après deux mois de cinédiète totale (il faisait bien trop beau, bien trop chaud, bien trop tout pour aller se cacher dans le noir), j'ai retrouvé le chemin des fauteuils rouges un soir de ce début d'automne, pour aller voir un film que je qualifierais de fabuleux.

C'est ça. Fabuleux.

Je suis allée voir Alabama Monroe, un film extraordinairement beau, émouvant, et surtout très inspirant. Les gens y sont exceptionnels, amoureux et passionnés (donc passionnants), le décor incite à la rêverie... Tout est là, tellement là que toi, petit spectateur, tu n'as pas d'autre choix que celui de plonger la tête la première dans cette histoire qui t'emporte, te fait rire, te fait chialer et finalement te donne envie de faire le tour du monde en jouant du banjo.


Mais si tu joues pas de banjo, c'est pas grave, tu peux écouter aussi. Ecouter, c'est bien.

Et la musique ! Cette bande originale qui est absolument parfaite, envoûtante, mélancolique, folle, enthousiasmante ! Elle te trottera dans la tête pendant des semaines, c'est sûr (sauf que tu ne seras pas aussi agacé que quand tu te réveilles sur un air de YMCA).

Je vais arrêter ici mon petit discours (si je parle plus je risque de spoiler, et les blogs qui spoilent ça m’horripile) en espérant que ce dernier aura réussi à te convaincre de bouger tes fesses le plus vite possible pour aller voir cette perle, ce petit bijou, cet énorme chef d'oeuvre qui te mettre à coup sûr dans tous tes états.

Et la bande annonce ? Elle te fait pas envie, la bande annonce ?

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